Projet d’appui au dĂ©veloppement agricole du pĂŽle G (Kissidougou, Gueckedou et Macenta) – PADAG

  • DurĂ©e : 01/06/2021 – 01/06/2026
  • Montant : 33,7 millions USD
  • Bailleur(s) : FADD, Gouvernement GuinĂ©en
  • Coordinateur : Mohamed CONDE
  • SiĂšge : Conakry
  • Site web :

 

L’objectif gĂ©nĂ©ral du Projet d’Appui au DĂ©veloppement Agricole du PĂŽle G (PADAG) est de contribuer Ă  la rĂ©duction de la pauvretĂ© et de stimuler la croissance Ă©conomique de la GuinĂ©e forestiĂšre.

 

Son objectif de dĂ©veloppement est ‘d’amĂ©liorer durablement la sĂ©curitĂ© alimentaire et nutritionnelle et accroitre les revenus des populations du PĂŽle G (prĂ©fectures de Kissidougou, GuĂ©ckĂ©dou et Macenta). Cet objectif sera atteint par l’intensification, la diversification et la valorisation des filiĂšres riz et palmier Ă  huile en intĂ©grant les ruraux pauvres, spĂ©cialement les femmes et les jeunes. Le PADAG met l’accent sur la mise Ă  grande Ă©chelle des innovations efficaces ayant fait l’objet d’essais pilotes prometteurs en GuinĂ©e forestiĂšre. Ces innovations comprennent des itinĂ©raires techniques de production et de valorisation plus performants pour les filiĂšres ciblĂ©es, mais Ă©galement la professionnalisation des organisations professionnelles agricoles, des partenariats commerciaux entre interprofessions, la planification participative, l’appui Ă  l’autonomisation des femmes et d’égalitĂ© de genre et l’entreprenariat des jeunes ruraux.

 

ConformĂ©ment au cadre logique du DCP, la mise en Ɠuvre des activitĂ©s prĂ©vues pour l’annĂ©e 2022 vise les rĂ©sultats suivants par composante :
* La mise en Ɠuvre de la composante 1, permettra l’augmentation de la production du riz local de qualitĂ© pour le marchĂ© et contribuera Ă  amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© alimentaire Ă  travers les actions suivantes:
Réhabilitation des aménagements hydroagricoles est réalisée
la Production de semences de base est réalisée et disponible
* La mise en Ɠuvre de la composante 2, permettra l’augmentation de la production de qualitĂ© d’huile de palme et de palmiste
– le matĂ©riel gĂ©nĂ©tique amĂ©liorĂ© est disponible
– la Cartographie des anciennes plantations de Tenera (F1-F2) est disponible
– le Document d’inter culture palmier cafĂ©ier/vivrier
– les bonnes pratiques pour le dĂ©veloppement du palmier (Fertilisation organique minĂ©rale et dĂ©sherbage/couverture) sont diagnostiquĂ©es et capitalisĂ©s
*La mise en Ɠuvre de la composante 3, crĂ©era un environnement plus favorable au dĂ©veloppement du PĂŽle G (mise en place des infrastructures et Ă©quipement de production agricole en faveur des bĂ©nĂ©ficiaires)
-le Référentiel des bonnes pratiques environnementales et social est élaboré et disponible
– les Pistes Ă  dĂ©senclaver sont identifiĂ©es et rĂ©habilitĂ©es
– Les Infrastructures post-rĂ©colte sont rĂ©alisĂ©es
– le SiĂšge du projet PADAG/GuĂ©ckĂ©dou est rĂ©habilitĂ©
* La mise en Ɠuvre de la composante 4, permettra une coordination et une gestion efficace et efficiente du projet
– les biens et services (formation sur les logiciels spĂ©cifiques ComptabilitĂ©, Suivi-Evaluation) de gestion) sont acquis
– les informations sur les activitĂ©s du projet sont disponibles
– Les missions d’appui et de supervision sont rĂ©alisĂ©es
– les Formations, Ateliers, RĂ©unions sont programmĂ©s et sont rĂ©alisĂ©es
– Les salaires et indemnitĂ©s du personnel du projet sont payĂ©s

 

La mise en Ɠuvre du PADAG (2022-2025) est articulĂ©e autour des composantes suivantes:
Composante 1: Intensification et valorisation de la filiĂšre rizicole
Composante 2 : Relance de la filiĂšre palmier Ă  huile
Composante 3 : Mesures d’appui au dĂ©veloppement durable du PĂŽle G
Composante 4 : Coordination et gestion

 

Le PADAG cible au moins 40 000 ménages, soit environ 264 000 personnes représentant 28 pourcent de la population agricole du PÎle G, comprenant essentiellement les ruraux pauvres dont les femmes et les jeunes impliqués dans les activités de production et de valorisation de ces deux filiÚres ciblées

 

Les modalitĂ©s de la mise en Ɠuvre du PADAG impliqueront un partenariat entre les services techniques publics dĂ©concentrĂ©s, des organisations spĂ©cialisĂ©es, des prestataires des services et des organisations professionnelles agricoles suivant l’approche du ‘faire-faire’. Le Gouvernement a requis une assistance technique internationale pour appuyer la mise en Ɠuvre rapide et efficiente du projet, sur la base d’une stratĂ©gie de transfert de compĂ©tences et de retrait progressif.
Partenaires
Institut de recherche agronomique de Guinée (IRAG) et PALMELITE
DNA/Centre semencier de Guéckédou
BSD Ministùre de l’Agriculture
Agence Nationale de la Promotion rurale et du Conseil Agricole (ANPROCA)
Direction Nationale du Génie Rural (DNGR)
Bureau Technique de Génie Rural (BTGR)
Direction Générale du ContrÎle de Qualité des Produits Agricoles
Direction prĂ©fectorale de l’Agriculture (DPA)
MinistĂšres Partenaires et ACGPMP
Maison GuinĂ©enne de l’Entrepreneur MGE
PLAN GUINEE
AGUISSA
MEDIA/Radio rurales

 

Préfectures de Kissidougou, Gueckédou et Macenta

Projet de dĂ©veloppement rural intĂ©grĂ© Gaoual-Koundara-Mali – PDRI-GKM

  • DurĂ©e : 5 ans (04/12/2019 – 01/06/2023)
  • Montant : 22 950 000 €
  • Bailleur(s) : BID
  • Coordinateur : Kemo CondĂ©
  • SiĂšge : Koundara
  • Zone d’intervention : Gaoual, Koundara, Mali
  • Site web : Aucun

 

Le Gouvernement de la RĂ©publique de GuinĂ©e a obtenu un financement de la Banque Islamique de DĂ©veloppement afin de couvrir le coĂ»t de rĂ©alisation du Projet de DĂ©veloppement Rural IntĂ©grĂ© Gaoual Koundara Mali (PDRI/GKM) pour une durĂ©e de cinq (05) ans. Le projet PDRI-GKM est placĂ© sous la tutelle du MinistĂšre de l’Agriculture et de l’Elevage qui en est l’agence d’exĂ©cution et le maĂźtre d’ouvrage.

 

Les principaux objectifs du projet visent Ă  rĂ©duire les contraintes liĂ©es au dĂ©veloppement de l’agriculture en GuinĂ©e et particuliĂšrement Ă  Gaoual, Koundara et Mali, par l’intensification de la production agricole, la construction d’infrastructures socio-Ă©conomiques et de pistes rurales


 

A la fin du projet les accroissements des rendements escomptés au niveau des différentes cultures en 2025 seront :

        • Mais : de 1,21T/ha Ă  2,5T/ha,
        • Riz : de 1,14T/ha Ă  5T/ha,
        • Arachide : de 0,8T/ha Ă  2,5T/ha,
        • Tomate : de 20T/ha Ă  30T/ha,
        • Oignon : de 14T/ha Ă  25T/ha ;

En terme d’infrastructures : 2100 ha de plaines et bas-fonds sont amĂ©nagĂ©s, 167km de pistes rurales sont rĂ©alisĂ©es, 35 magasins de stockage sont construits, 4 marchĂ©s communautaires sont construits, Le siĂšge du projet et les deux antennes sont Ă  construire, 20 aires de sĂ©chage sont rĂ©alisĂ©es. Les effets conjuguĂ©s de toutes ces actions vont se traduire Ă  l’horizon 2025 par un accroissement sensible du revenu des mĂ©nages qui passera de 300 USD en 2017 Ă  1000 USD en 2025.

 

  1. Appui à l’intensification des filiùres de production
  2. AccÚs aux équipements post récolte en liens avec le marchés
  3. La gestion et la coordination du projet

 

  • Les responsables des structures faitiĂšres (unions fĂ©dĂ©rations)
  • Les groupements de producteurs (hommes femmes et jeunes)
  • Des transformateurs des produits agricoles
  • Les commerçants et transporteurs.

 

Les partenaires nationaux : IRAG, DNA, SERPROCA, DNGR Les partenaires internationaux : UNOPS, IFDC, MP, ILRI.

Projet de mobilitĂ© et de connectivitĂ© rurale – PMCR

  • DurĂ©e : 5 ans (21/08/2019 – 30/06/2024)
  • Montant : 40 000 000 USD
  • Bailleur(s) : Banque Mondiale (IDA)
  • Coordinateur : Mohamed Lamine DIABY
  • SiĂšge : Conakry
  • Site web :

 

La réalisation de 798 km de pistes rurales et infrastructures communautaires de bases (Magasin et forage)

 

Le Projet de MobilitĂ© et de ConnectivitĂ© Rurales (PMCR) vise essentiellement la rĂ©duction de la pauvretĂ©, l’augmentation de la sĂ©curitĂ© alimentaire et l’amĂ©lioration des conditions de vie des populations rurales par la mise en place d’un rĂ©seau fonctionnel d’infrastructures rurales de transport, durable et respectueux de l’environnement concourant Ă  l’atteinte des Objectifs de DĂ©veloppement Durable (ODD) et du Programme National de DĂ©veloppement Economique et Social (PNDES) de la GuinĂ©e.
Le PMCR sera exĂ©cutĂ© en cinq (5) ans (2019 – 2024) pour un coĂ»t global de quarante millions de dollars US (40.000.000 USD) financĂ© par la Banque mondiale. Il est mis en Ɠuvre en Basse, Moyenne et Haute GuinĂ©e notamment dans les prĂ©fectures de BokĂ©, DubrĂ©ka, Coyah , Dalaba, Pita, LabĂ© Siguiri et Mandiana pour dĂ©senclaver les zones de production d’une part et celles des grands amĂ©nagements hydro agricoles du Projet de DĂ©veloppement Agricole IntĂ©grĂ© de GuinĂ©e (PDAIG) d’autre part.

 

Le Projet de MobilitĂ© et de ConnectivitĂ© Rurales (PMCR) vise essentiellement la rĂ©duction de la pauvretĂ©, l’augmentation de la sĂ©curitĂ© alimentaire et l’amĂ©lioration des conditions de vie des populations rurales par la mise en place d’un rĂ©seau fonctionnel d’infrastructures rurales de transport, durable et respectueux de l’environnement concourant Ă  l’atteinte des Objectifs de DĂ©veloppement Durable (ODD) et du Programme National de DĂ©veloppement Economique et Social (PNDES) de la GuinĂ©e.

 

Composante 1 : RĂ©habilitation des routes rurales et construction des infrastructures communautaires. Elle concerne les zones de production agricole et domaines d’élevage. Pour cela, il s’agit de rĂ©habiliter, entretenir et Ă©liminer les points critiques des pistes retenues comme prioritaires sur la base des Ă©tudes prĂ©liminaires et de conception technique rĂ©alisĂ©es dans le cadre du Projet d’Appui au Secteur Agricole de GuinĂ©e (PASA-G).
Ces travaux porteront fondamentalement sur l’amĂ©lioration du rĂ©seau de pistes rurales reliant les villages entre eux d’une part et les chefs-lieux des Communes Rurales avec le reste des zones Ă©conomiques et de production agricole (routes prĂ©fectorales) d’autre part.
Pour ce qui concerne les infrastructures communautaires, il s’agira de la construction et de la remise en Ă©tat desdites infrastructures pour le stockage des produits agricoles, de mĂȘme que la rĂ©alisation des points d’eau le long des routes rĂ©habilitĂ©es.
Composante 2 : Renforcement des capacitĂ©s pour l’entretien et la sĂ©curitĂ© routiĂšre.
Il s’agira de mettre en place un systĂšme villageois d’entretien des infrastructures de transport rural dans ces zones et des outils de suivi de cet entretien. Les entretiens courants, pĂ©riodiques et exceptionnels seront assurĂ©s par le financement du Fonds d’Entretien Routier (FER).
La sĂ©curitĂ© routiĂšre portera sur la crĂ©ation d’un observatoire et la collecte des donnĂ©es sur les accidents de la route.
Composante 3 : Gestion du Projet
Cette composante vise à garantir que le projet est géré et contrÎlé efficacement et que les performances et les résultats sont soigneusement suivis. Une Unité de Coordination sera mise en place pour le suivi rapproché du projet. Des activités de formation, de communication et de capitalisation sont aussi prévues.
Plus spĂ©cifiquement, il s’agira d’apporter un appui Ă  la mise en Ɠuvre du projet, y compris les acquisitions et les sauvegardes environnementale et sociale ainsi que la prĂ©vention des risques de Violences BasĂ©es sur le Genre (VBG).

 

La communautĂ© rural des zones d’intervention du projet

 

AGUISER

 

Coyah, Boké, Labé, Dalaba, Pita, Siguiri et Mandiana

Projet d’appui aux systĂšmes d’activitĂ©s rizicoles en zone de mangrove – SARITEM

  • DurĂ©e : 5 ans (01/01/2018 – 31/12/2024)
  • Montant : 23 000 000 €
  • Bailleur(s) : AFD
  • Coordinateur : SAIKOU YAYA BALDE
  • SiĂšge : Matoto, Conakry
  • Zone d’intervention : Basse GuinĂ©e Nord et Sud (DubrĂ©ka, Boffa, BokĂ© et ForĂ©cariah)
  • Site web : Aucun

 

Le prĂ©sent projet s’inscrit dans le cadre de la consolidation des acquis des projets antĂ©rieurs, mis en Ɠuvre par la DNGR et soutenus depuis une vingtaine d’annĂ©es par l’AFD en faveur de la production durable de la riziculture de mangrove.
En zone de mangrove, les amĂ©nagements hydro-agricoles visent Ă  « stabiliser » les zones de culture de riz grĂące Ă  la combinaison de trois rĂ©sultats : i) la protection des casiers rizicoles de la submersion des eaux marines en pĂ©riode de culture; ii) le contrĂŽle des adventices et le maintien de la fertilitĂ© par l’admission de l’eau de mer en saison sĂšche; iii) ainsi que le lessivage des sels de la couche arable et la satisfaction des besoins en eau du riz par un contrĂŽle de la lame d’eau.

 

I. OBJECTIF GLOBAL DU PROJET :
L’objectif global du projet est de contribuer Ă  un dĂ©veloppement durable de la production rizicole en zone de mangrove permettant de sĂ©dentariser les zones de culture et d’intensifier la productivitĂ© des zones cultivĂ©es tout en prĂ©servant les zones de mangrove naturelle environnantes.

II. OBJECTIFS SPECIFIQUES DU PROJET :

  • Contribuer Ă  un dĂ©veloppement durable de la production rizicole en zone de mangrove par l’amĂ©nagement et la mise en valeurs de 5000 ha dont 3 500 ha de nouveaux pĂ©rimĂštres (Riz – BG 1 : 2 500 ha et Riz – BG 2 : 1 000 ha) ;
  • Renforcer l’organisation des producteurs en vue de leur autonomisation, notamment financiĂšre de leurs structures particuliĂšrement les composantes connexes de l’aval de la filiĂšre riz professionnelles ;
  • Mettre en valeur les amĂ©nagements rĂ©alisĂ©s pour amĂ©liorer et pĂ©renniser la productivitĂ© des investissements.

 

A. SUR LES TRAVAUX

  1. Travaux de consolidation anciens aménagements en dysfonctionnement (3 798 ha)
  2. Travaux GEP
    Compléments / EC existants aménagements globaux sur 2 365 ha
    Extensions: 1 302 ha
  3. Nouveaux aménagements globaux
    Au Nord: 1 206 ha
    Au Sud: 600 ha
  4. Désenclavement: 10 km;

B. SUR LA Gestion Entretien et Maintenance des périmÚtres :

  1. Des associations indépendantes à terme
  2. Une cellule qui a vocation Ă  appuyer tous les usagers
  3. Une implication des communes rurales
  4. Un partage effectif de l’entretien entre l’Etat et les usagers
  5. Une dĂ©marche de crĂ©ation de fonds d’entretien et d’amĂ©lioration du cadre juridique engagĂ©e;

C. MISE EN VALEUR AGRICOLE ET DEVELOPPEMENT DURABLE DES FILIERES RIZ

Résultat attendu de la composante 2 :

La productivitĂ© et les productions de riz sont accrues et mieux valorisĂ©es Ă  travers des modes de gestion durable des ressources naturelles de l’écosystĂšme de mangrove
Ce résultat sera atteint à travers deux volets :

1. Mise en Valeur Agricole Durable
1.1 APPUI AUX PRODCTEURS (FOPBG)

Plus de 7 000 ha sont suivis par la FOPBG dont 3 210 ha d’endiguement collectif autour des quels 1 483 exploitants sont recensĂ©s dont 170 femmes avec 1 063 propriĂ©taires dont 88 femmes ; 420 locataires ;
82% de taux de mise en valeur sur l’ensemble des 12 pĂ©rimĂštres
20 paysans relais mis en place ; 660 producteurs formés au suivi et au conseil agricole ; 30 producteurs semenciers formés
20 associations des usagers des périmÚtres (AUP) mis en place

1.2 La RD sera mise en Ɠuvre par l’IRAG. Elle comprend les sept activitĂ©s ci-aprĂšs :
IRAG (RECERCHE / DEVELOPPEMENT)

a) Fertilité des sols
La fertilitĂ© en mangrove est identifiĂ©e et connue : bon planage, curage des chenaux, admission /stockage de l’eau de mer pendant la saison sĂšche et la crĂ©ation de quartier hydraulique homogĂšne
b) Suivi technico économique
Rendement moyen de 2,2 tonnes par ha dont 1,8 t/ha sur billon, 2,2t/ha sur plat et 3,2 t/ha avec le semis direct
c) Mécanisation
Le motoculteur de type chinois identifiĂ©, la fiche d’exploitation Ă©laborĂ©e : 180 jours d’exploitation par an avec 80 jours de prĂ©paration de sols et 100 jours de transport
d) Recherches variétales
4 variétés identifiées dont 2 locales (Kinsampana et Dissi béli) et 2 améliorées (ROCK5 et M6)

1.3. Appui à l’Aval des Filiùres riz
Elle est mise par la MGE et comprend les activités ci-aprÚs:

– 1 655 acteurs formĂ©s Ă  l’Esprit d’Auto Promotion (EAP), Gestion, cadre lĂ©gislatif, technique de dĂ©pannage de machines de dĂ©corticage et d’étuvage du riz
– Plus de 50 kits (fĂ»ts, brouettes, rĂąteaux, pelles etc..) d’étuvage distribuĂ©s
– 2 centres de transformation et de commercialisation rĂ©alisĂ©s Ă  Koba et Boffa
– 80 groupements d’acteurs encadrĂ©s, 4 unions et une fĂ©dĂ©ration mis en place
– Mise en place d’un rĂ©seau bööra maalĂ© (marque collective de riz) qui fĂ©dĂšre 600 exploitants de 6 zones pilotes (Kaback, Wonkifong, Koba, Douprou, Tougnifily et Kollaboui).

D. CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE (CGS)
1. Ă©laboration d’un CGES comme Ă©tape du dispositif d’évaluation environnementale et sociale (EES);
2. suivi du PGES

 

Composante 1 : Aménagement & entretien des périmÚtres rizicoles
Volet 11 : Réhabilitation et extension des aménagements
Volet 12 : Gestion, entretien et maintenance des aménagements
Composante 2 : Mise en valeur agricole durable et développement des filiÚres riz et sel
Volet 21 : Mise en valeur agricole durable
Volet 22 : Aval des filiĂšres riz et sel
Composante 3 : Coordination, suivi-évaluation et diligences environnementales et sociales
Volet 31 : Mesures d’accompagnement environnemental et social
Volet 32 : Suivi-évaluation
Volet 33 : Coordination du projet

 

  1. La FOP VS BG: Fédération des Organisations Paysannes des Vivriers et Saliculteurs de la Basse Guinée;
  2. les AUP : les Associations d’Usagers des PĂ©rimĂštres rizicoles.

 

Groupement SHER – BERCA Baara
ADAM
ACE avec AT CACG
FOPVS BG avec AT Gret
IRAG avec AT CIRAD
MGE avec AT Gret
UCP/DNGR avec AT du Groupement BRLi – Iram

Projet de gestion intĂ©grĂ© des ressources en eau (PGIRE II) de l’organisation pour la mise en valeur du fleuve SĂ©nĂ©gal (OMVS) – PEGIR II

  • DurĂ©e : 7 ans (12/1/2018 – 30/06/2023)
  • Montant : 12 032 341 USD
  • Bailleur(s) : Banque Mondiale (IDA)
  • Coordinateur : Balla MARA
  • SiĂšge : Conakry
  • Site web :

 

Projet de Gestion Indegree des Resources en Eau et de DĂ©veloppement des Usages Multiples (PGIRE II), qui vise Ă  consolider et amplifier les rĂ©sultats et les acquis du PGIRE II, a Ă©tĂ© lancĂ©e en juin 2014. La mise en Ɠuvre des activitĂ©s de la sous composante « AmĂ©nagement hydroagricole et protection des ressources en eau» du PGIRE II a Ă©tĂ© confiĂ©e aux mĂȘmes Agences d’exĂ©cution dont la Direction Nationale du GĂ©nie Rural (DNGR) en ce qui concerne la RĂ©publique de GuinĂ©e. La composante 2 du projet dans laquelle la sous composante « AmĂ©nagement Hydroagricole et protection des ressources en eau », vise Ă  promouvoir les activitĂ©s gĂ©nĂ©ratrices de revenus et amĂ©liorer les moyens de subsistance pour les populations du bassin du fleuve SĂ©nĂ©gal.

 

Le Projet de Gestion IntĂ©grĂ©e des Ressources en Eau et le dĂ©veloppement des usages multiples de l’eau (PGIRE II), a pour objectif de DĂ©veloppement d’amĂ©liorer la gestion concertĂ©e des ressources en eau pour un dĂ©veloppement durable sur le plan social Ă©conomique et environnemental dans le bassin du fleuve SĂ©nĂ©gal.

 

  • Associations d’usagers d’eau (ou Organisations de Producteurs) opĂ©rationnels créés et / ou renforcĂ©es (Nombre);
  • LinĂ©aire d’axes hydrauliques – canaux alimentant les zones d’irrigation – sont rĂ©habilitĂ©s
    Superficie traitĂ©e par des techniques appropriĂ©es de conservation (dont l’agroforesterie ou reboisement);
  • Augmentation des ventes (en valeur monĂ©taire) de poisson frais et transformĂ© dans les sites du projet;
  • Pourcentage de bĂ©nĂ©ficiaires cibles ayant reçu un traitement de masse contre les MTN qui apparaissent au niveau local.

 

Composante II
La composante 2 du projet dans laquelle la sous composante « Aménagement Hydroagricole et protection des ressources en eau » est inscrite, vise à promouvoir les activités génératrices de revenus et améliorer les moyens de subsistance pour les populations du bassin.

 

Le Projet vise 6 266 BĂ©nĂ©ficiaires directs de l’ensemble du Project (hommes et femmes)

 

Banque Mondiale, OMVS

 

Moyenne Guinée (Mamou,Dalaba, Labé et Tougué)

Projet de dĂ©veloppement agricole intĂ©grĂ© en GuinĂ©e – PDAIG

  • DurĂ©e : 5 ans (08/03/2019 – 30/06/2023)
  • Montant : $ 40 000 000
  • Bailleur(s) : Banque Mondiale
    Gouvernement Guinéen
  • Coordinateur : Ibrahima Sambegou GASSAMA
  • SiĂšge : Conakry
  • Site web : www.pdaig.org.gn

 

Dans le cadre de l’opĂ©rationnalisation du PASANDAD et la contribution Ă  la mise en Ɠuvre du PNDES, le Gouvernement guinĂ©en a fait un appel au soutien technique et financier du Groupe de la Banque Mondiale (GBM) pour jouer un rĂŽle central dans la mobilisation des financements nĂ©cessaires.
En réponse à cette demande du Gouvernement, le GBM a accordé un crédit de 40 Millions de dollars US pour le financement de ce Projet. Le PDAIG se concentre sur le développement de chaßnes de valeur à forte valeur ajoutée.

Sa conception considÚre le besoin croissant pour la Guinée de transformer son agriculture en augmentant la productivité, en développant les marchés et la compétitivité et en renforçant les infrastructures.

Le PDAIG porte sur 5 chaĂźnes de valeur, mis en Ɠuvre dans 10 prĂ©fectures. Il s’agit du riz, du maĂŻs, de la volaille, de la pomme de terre et de la pisciculture. Quant aux prĂ©fectures cibles, elles offrent un potentiel de dĂ©veloppement significatif pour les filiĂšres sĂ©lectionnĂ©es. Il s’agit des prĂ©fectures de DubrĂ©ka, Coyah, BokĂ©, Dalaba, Pita, LabĂ©, Dinguiraye, Siguiri, Mandiana et Beyla.

 

L’objectif de dĂ©veloppement du projet est d’accroĂźtre la productivitĂ© agricole au niveau des exploitations et de promouvoir une plus grande participation des producteurs et d’autres acteurs dans les chaĂźnes de valeur sĂ©lectionnĂ©es dans les zones du projet.

 

Les résultats attendus du Projet sont :
1. đ—”đ—°đ—°đ—żđ—Œđ—¶Ì‚đ˜đ—żđ—Č đ—č𝗼 đ—œđ—żđ—Œđ—±đ˜‚đ—°đ˜đ—¶đ˜ƒđ—¶đ˜đ—Č́ đ—źđ—Žđ—żđ—¶đ—°đ—Œđ—čđ—Č đ—Č𝘁 đ—č’𝗼𝗰𝗰đ—ČÌ€đ˜€ 𝗼𝘂𝘅 đ—șđ—źđ—żđ—°đ—”đ—ČÌđ˜€ đ—œđ—Œđ˜‚đ—ż đ—čđ—Č𝘀 đ—œđ—żđ—Œđ—±đ˜‚đ—°đ˜đ—Č𝘂𝗿𝘀 đ—Č𝘁 đ—čđ—Č𝘀 𝗣𝗠𝗘 đ—±đ—źđ—»đ˜€ 𝗰đ—Čđ—żđ˜đ—źđ—¶đ—»đ—Č𝘀 đ—°đ—”đ—źđ—¶Ì‚đ—»đ—Č𝘀 đ—±đ—Č 𝘃𝗼đ—čđ—Č𝘂𝗿
– Pourcentage d’augmentation du rendement des produits ciblĂ©s obtenus par les bĂ©nĂ©ficiaires directs du projet (ventilĂ©s par produit : riz, maĂŻs, pomme de terre, Ɠuf et poisson)
– Pourcentage d’augmentation du volume des ventes de produits ciblĂ©s rĂ©alisĂ©s par les bĂ©nĂ©ficiaires directs du projet (ventilĂ©s par produit : riz, maĂŻs, pomme de terre, Ɠuf, poisson)
– Producteurs touchĂ©s par les biens et services du projet
– Producteurs touchĂ©s par les biens et services du projet – Femmes
– Producteurs touchĂ©s par les biens et services du projet – Jeunes

2. đ—”đ—°đ—°đ—żđ—Œđ—¶Ì‚đ˜đ—żđ—Č đ—č𝗼 đ—œđ—żđ—Œđ—±đ˜‚đ—°đ˜đ—¶đ˜ƒđ—¶đ˜đ—Č́ đ—źđ—Žđ—żđ—¶đ—°đ—Œđ—čđ—Č
– Superficie rĂ©habilitĂ© ou dotĂ© d’un nouveau systĂšme d’irrigation ou de drainage pour la maĂźtrise de l’eau
– Nombre d’associations d’usagers de l’eau opĂ©rationnelles créées et/ou renforcĂ©es
– Superficie couverte par les technologies amĂ©liorĂ©es diffusĂ©es par le projet
– Nombre d’utilisateurs de technologies amĂ©liorĂ©es diffusĂ©es par le projet (ventilĂ©es par sexe)
– Nombre d’utilisateurs de technologies amĂ©liorĂ©es diffusĂ©es par le projet – femmes
– Nombre de techniciens agricoles formĂ©s (ventilĂ©s par sexe)

3. Connecter les producteurs aux marchés pour promouvoir une agriculture commerciale saine
– Nombre de micro-projets financĂ©s par la subvention Ă  coĂ»t-partagĂ©
– Nombre de sous-projets financĂ©s par la subvention Ă  coĂ»t-partagĂ© pour les petites et moyennes entreprises (PME)
– Nombre de producteurs, d’agro entrepreneurs et de PME formĂ©s (dĂ©sagrĂ©gĂ© par sexe et jeunesse)
– Nombre de producteurs, d’agro entrepreneurs et de PME formĂ©s (dĂ©sagrĂ©gĂ© par sexe et jeunesse) – Jeunes
– Nombre de producteurs, d’agro entrepreneurs et de PME formĂ©s (dĂ©sagrĂ©gĂ© par sexe et jeunesse) – Femmes
– Nombre de producteurs, d’agro entrepreneurs et de PME formĂ©s (dĂ©sagrĂ©gĂ© par sexe et jeunesse) – PMEs

4. đ—–đ—Œđ—»đ—»đ—Č𝗰𝘁đ—Č𝗿 đ—čđ—Č𝘀 đ—œđ—żđ—Œđ—±đ˜‚đ—°đ˜đ—Č𝘂𝗿𝘀 𝗼𝘂𝘅 đ—șđ—źđ—żđ—°đ—”đ—ČÌđ˜€ đ—œđ—Œđ˜‚đ—ż đ—œđ—żđ—Œđ—șđ—Œđ˜‚đ˜ƒđ—Œđ—¶đ—ż đ˜‚đ—»đ—Č đ—źđ—Žđ—żđ—¶đ—°đ˜‚đ—č𝘁𝘂𝗿đ—Č đ—°đ—Œđ—șđ—șđ—Čđ—żđ—°đ—¶đ—źđ—čđ—Č đ˜€đ—źđ—¶đ—»đ—Č
– RĂ©aliser le recensement national de l’agriculture et de l’élevage

 

  1. Le projet comprend quatre (04) composantes interconnectées, organisées pour traiter les contraintes majeures de façon séquentielle, à savoir :

    đ—–đ—Œđ—șđ—œđ—Œđ˜€đ—źđ—»đ˜đ—Č 𝟭 : Augmentation de la productivitĂ© agricole
    đ™Šđ™—đ™Ÿđ™šđ™˜đ™©đ™žđ™› 𝙙𝙚 𝙡𝙖 đ˜Ÿđ™€đ™ąđ™„đ™€đ™šđ™–đ™Łđ™©đ™š : AccroĂźtre la productivitĂ© agricole grĂące Ă  une intensification des systĂšmes de production respectueuse de l’environnement, axĂ©s sur l’amĂ©lioration de la gestion de l’eau et la promotion de technologies amĂ©liorĂ©es et Ă  l’innovation

    đ—–đ—Œđ—șđ—œđ—Œđ˜€đ—źđ—»đ˜đ—Č 𝟼: Augmentation de l’accĂšs aux marchĂ©s
    đ™Šđ™—đ™Ÿđ™šđ™˜đ™©đ™žđ™› 𝙙𝙚 𝙡𝙖 đ˜Ÿđ™€đ™ąđ™„đ™€đ™šđ™–đ™Łđ™©đ™š : Aider les producteurs, les transformateurs Ă  petite Ă©chelle et leurs organisations Ă  accroĂźtre la production et la commercialisation de surplus nĂ©gociables pour les chaĂźnes de valeur agricoles ciblĂ©es (riz, maĂŻs, pommes de terre, Ɠufs et poissons).

    đ—–đ—Œđ—șđ—œđ—Œđ˜€đ—źđ—»đ˜đ—Č 𝟯 : Renforcement des capacitĂ©s institutionnelles
    đ™Šđ™—đ™Ÿđ™šđ™˜đ™©đ™žđ™› 𝙙𝙚 𝙡𝙖 đ˜Ÿđ™€đ™ąđ™„đ™€đ™šđ™–đ™Łđ™©đ™š : renforcer les capacitĂ©s institutionnelles, en se concentrant en particulier sur les statistiques agricoles et la planification d’une rĂ©ponse rapide en cas de crises graves et d’urgences

    đ—–đ—Œđ—șđ—œđ—Œđ˜€đ—źđ—»đ˜đ—Č 𝟰 : Coordination et Mise en ƒuvre du Projet
    đ™Šđ™—đ™Ÿđ™šđ™˜đ™©đ™žđ™› 𝙙𝙚 𝙡𝙖 đ˜Ÿđ™€đ™ąđ™„đ™€đ™šđ™–đ™Łđ™©đ™š : Faire en sorte que le projet soit gĂ©rĂ© et mise en oeuvre de maniĂšre efficace, et que les rĂ©sultats soient suivis par l’UnitĂ© de coordination et les agences d’exĂ©cution. Les principales activitĂ©s consisteront Ă  la planification stratĂ©gique, la coordination et la gestion, le suivi, l’évaluation et la communication, et la gestion des politiques de sauvegarde.

 

Le projet bĂ©nĂ©ficie directement Ă  𝟼𝟬𝟬 𝟬𝟬𝟬 acteurs, rĂ©partis dans les 10 prĂ©fectures et segmentĂ©s suivant les objectifs de dĂ©veloppement du PDAIG, Ă  savoir : đ—čđ—Č𝘀 đ—œđ—żđ—Œđ—±đ˜‚đ—°đ˜đ—Č𝘂𝗿𝘀 đ—Č𝘁 đ—čđ—Č𝘂𝗿𝘀 đ—Œđ—żđ—Žđ—źđ—»đ—¶đ˜€đ—źđ˜đ—¶đ—Œđ—»đ˜€, đ—čđ—Č𝘀 𝗣𝗠𝗘 đ—źđ—Žđ—żđ—¶đ—°đ—Œđ—čđ—Č𝘀 đ—¶đ—șđ—œđ—čđ—¶đ—Ÿđ˜‚đ—Č́đ—Č𝘀 đ—±đ—źđ—»đ˜€ đ—čđ—Č𝘀 đ—°đ—”đ—źđ—¶Ì‚đ—»đ—Č𝘀 đ—±đ—Č 𝘃𝗼đ—čđ—Č𝘂𝗿 đ—źđ—Žđ—żđ—¶đ—°đ—Œđ—čđ—Č𝘀 𝘀đ—Č́đ—čđ—Čđ—°đ˜đ—¶đ—Œđ—»đ—»đ—Č́đ—Č𝘀, đ—»đ—Œđ˜đ—źđ—șđ—șđ—Čđ—»đ˜ đ—čđ—Č𝘀 đ—źđ—Žđ—żđ—Œ-đ—¶đ—»đ—±đ˜‚đ˜€đ˜đ—żđ—¶đ—Č𝘀, đ—čđ—Č𝘀 đ—°đ—Œđ—șđ—șđ—Čđ—żđ—°Ì§đ—źđ—»đ˜đ˜€ (đ—Žđ—żđ—Œđ˜€đ˜€đ—¶đ˜€đ˜đ—Č𝘀 đ—Č𝘁 đ—±đ—ČÌđ˜đ—źđ—¶đ—čđ—čđ—źđ—»đ˜đ˜€), đ—čđ—Č𝘀 đ—Čđ˜…đ—œđ—Œđ—żđ˜đ—źđ˜đ—Č𝘂𝗿𝘀, đ—čđ—Č𝘀 đ—¶đ—șđ—œđ—Œđ—żđ˜đ—źđ˜đ—Č𝘂𝗿𝘀, đ—Čđ—»đ˜đ—żđ—Č 𝗼𝘂𝘁𝗿đ—Č𝘀.

𝙇𝙚𝙹 đ™—đ™šÌđ™Łđ™šÌđ™›đ™žđ™˜đ™žđ™–đ™žđ™§đ™šđ™š đ™™đ™žđ™§đ™šđ™˜đ™©đ™š du projet comprennent les producteurs, leurs organisations et les PME agricoles impliquĂ©es dans les chaĂźnes de valeur agricoles sĂ©lectionnĂ©es.

𝙇𝙚𝙹 đ™—đ™šÌđ™Łđ™šÌđ™›đ™žđ™˜đ™žđ™–đ™žđ™§đ™šđ™š đ™žđ™Łđ™™đ™žđ™§đ™šđ™˜đ™©đ™š du projet comprennent les entreprises commerciales (grossistes et dĂ©taillants), les exportateurs, les importateurs, les prestataires de services publics et privĂ©s, les organismes gouvernementaux et les organisations non gouvernementales impliquĂ©es dans les chaĂźnes de valeur agricoles sĂ©lectionnĂ©es

𝗟đ—Č đ—œđ—żđ—Œđ—·đ—Č𝘁 đ—Č𝘀𝘁 𝗮đ—Čđ—»đ—żđ—Č 𝘀đ—Čđ—»đ˜€đ—¶đ—Żđ—čđ—Č : đ—čđ—Č𝘀 𝗳đ—Čđ—șđ—șđ—Č𝘀 (𝗼𝘂 đ—șđ—Œđ—¶đ—»đ˜€ 𝟰𝟬%) đ—Č𝘁 đ—čđ—Č𝘀 đ—·đ—Čđ˜‚đ—»đ—Č𝘀 (𝗼𝘂 đ—șđ—Œđ—¶đ—»đ˜€ 𝟼𝟬%) . đ—˜đ—» đ—Œđ˜‚đ˜đ—żđ—Č, 𝟭𝟬𝟬𝟬 𝗼𝘂𝘁𝗿đ—Č𝘀 𝗼𝗰𝘁đ—Č𝘂𝗿𝘀 đ—±đ—Č𝘀 đ—°đ—”đ—źđ—¶Ì‚đ—»đ—Č𝘀 đ—±đ—Č 𝘃𝗼đ—čđ—Č𝘂𝗿 đ—±đ—Čđ˜ƒđ—żđ—źđ—¶đ—Čđ—»đ˜ 𝗯đ—ČÌđ—»đ—ČÌđ—łđ—¶đ—°đ—¶đ—Č𝗿 đ—±đ—¶đ—żđ—Č𝗰𝘁đ—Čđ—șđ—Čđ—»đ˜ đ—±đ˜‚ đ—œđ—żđ—Œđ—·đ—Č𝘁.

 

Dans le cadre de sa mise en Ɠuvre, l’UnitĂ© de Gestion du PDAIG signe des conventions annuelles avec des agences et/ou services techniques du MinistĂšre de l’Agriculture et de l’Elevage ainsi que celui de la PĂȘche. Il s’agit des services suivants :

Dans le cadre de sa mise en Ɠuvre, l’UnitĂ© de Gestion du PDAIG signe des conventions annuelles avec des agences et/ou services techniques du MinistĂšre de l’Agriculture et de l’Elevage ainsi que celui de la PĂȘche. Il s’agit des services suivants :

𝟭. 𝗟𝗼 đ——đ—¶đ—żđ—Čđ—°đ˜đ—¶đ—Œđ—» đ—Ąđ—źđ˜đ—¶đ—Œđ—»đ—źđ—čđ—Č đ—±đ˜‚ 𝗚đ—ČÌđ—»đ—¶đ—Č đ—„đ˜‚đ—żđ—źđ—č (đ——đ—Ąđ—šđ—„), pour la mise en Ɠuvre de la sous-composante 1.1: ContrĂŽle et gestion de l’eau ;

𝟼. 𝗟’𝗔𝗮đ—Čđ—»đ—°đ—Č đ—Ąđ—źđ˜đ—¶đ—Œđ—»đ—źđ—čđ—Č đ—±đ—Č𝘀 đ—Šđ˜đ—źđ˜đ—¶đ˜€đ˜đ—¶đ—Ÿđ˜‚đ—Č𝘀 đ—”đ—Žđ—żđ—¶đ—°đ—Œđ—čđ—Č𝘀 (𝗔𝗡𝗔𝗩𝗔) pour la mise en Ɠuvre de la sous-composante 3.1: Soutien au systĂšme de production des statistiques agricoles.

𝟯. 𝗟’𝗔𝗮đ—Čđ—»đ—°đ—Č đ—Ąđ—źđ˜đ—¶đ—Œđ—»đ—źđ—čđ—Č đ—±đ—Č đ—čâ€™đ—”đ—Ÿđ˜‚đ—źđ—°đ˜‚đ—č𝘁𝘂𝗿đ—Č đ—±đ—Č đ—šđ˜‚đ—¶đ—»đ—Č́đ—Č (𝗔𝗡𝗔𝗚) pour la mise en place et la valorisation des pĂŽles piscicoles

𝟰. 𝗟đ—Č 𝗩đ—Čđ—żđ˜ƒđ—¶đ—°đ—Č đ—±đ—Č đ—Łđ—żđ—Œđ—șđ—Œđ˜đ—¶đ—Œđ—» đ—Č𝘁 đ—„đ˜‚đ—żđ—źđ—čđ—Č đ—Č𝘁 đ—±đ—Č đ—°đ—Œđ—»đ˜€đ—Čđ—¶đ—č đ—źđ—Žđ—żđ—¶đ—°đ—Œđ—čđ—Č (đ—Šđ—˜đ—„đ—Łđ—„đ—ąđ—–đ—”) pour le conseil et la vulgarisation agricole, l’accĂšs aux technologies agricoles et l’innovation

đŸ±. 𝗗đ—Č𝘀 đ—¶đ—»đ˜€đ˜đ—¶đ˜đ˜‚đ˜đ—¶đ—Œđ—»đ˜€ đ—łđ—¶đ—»đ—źđ—»đ—°đ—¶đ—ČÌ€đ—żđ—Č𝘀 đ—œđ—źđ—żđ˜đ—Čđ—»đ—źđ—¶đ—żđ—Č𝘀 et des sociĂ©tĂ©s de conseil spĂ©cialisĂ©es pour la mise en Ɠuvre de la composante 2 : Connecter les producteurs au marchĂ© pour promouvoir une agriculture commerciale saine ;

 

𝗟đ—Č đ—œđ—żđ—Œđ—·đ—Č𝘁 đ—¶đ—»đ˜đ—Čđ—żđ˜ƒđ—¶đ—Čđ—»đ—±đ—żđ—ź đ—±đ—źđ—»đ˜€ 𝟭𝟬 đ—œđ—żđ—ČÌđ—łđ—Č𝗰𝘁𝘂𝗿đ—Č𝘀 constituant des zones de production majeures et offrant un potentiel de dĂ©veloppement significatif pour les chaĂźnes de valeur sĂ©lectionnĂ©es. Il s’agit de :
𝗗𝘂𝗯𝗿đ—ČÌđ—žđ—ź : Aviculture
đ—–đ—Œđ˜†đ—źđ—” : Aviculture
đ—•đ—Œđ—žđ—Č́ : Riz, Pisciculture, Aviculture
𝗗𝗼đ—č𝗼𝗯𝗼 : Pomme de terre, Pisciculture, Aviculture
đ—Łđ—¶đ˜đ—ź : Pomme de terre
𝗟𝗼𝗯đ—Č́ : MaĂŻs, Pomme de terre, Aviculture
đ——đ—¶đ—»đ—Žđ˜‚đ—¶đ—żđ—źđ˜†đ—Č : MaĂŻs
đ—Šđ—¶đ—Žđ˜‚đ—¶đ—żđ—¶ : Riz, Pisciculture, Aviculture
đ— đ—źđ—»đ—±đ—¶đ—źđ—»đ—ź : Riz, MaĂŻs, Aviculture
𝗕đ—Č𝘆đ—č𝗼 : Riz

Projet intĂ©grĂ© de dĂ©veloppement pour l’adaptation aux changement climatique – PIDACC/ABN

  • DurĂ©e : 5 ans (01/06/2019 – 30/04/2024)
  • Montant : 15 400 000 EUR
  • Bailleur(s) : La banque Allemande KFW
  • Coordinateur : Ibrahima KABA
  • SiĂšge : Kankan
  • Site web : www.pdaig.org.gn

 

Dans le cadre de l’opĂ©rationnalisation du PASANDAD et la contribution Ă  la mise en Ɠuvre du PNDES, le Gouvernement guinĂ©en a fait un appel au soutien technique et financier du Groupe de la Banque Mondiale (GBM) pour jouer un rĂŽle central dans la mobilisation des financements nĂ©cessaires.
En réponse à cette demande du Gouvernement, le GBM a accordé un crédit de 40 Millions de dollars US pour le financement de ce Projet. Le PDAIG se concentre sur le développement de chaßnes de valeur à forte valeur ajoutée.

Sa conception considÚre le besoin croissant pour la Guinée de transformer son agriculture en augmentant la productivité, en développant les marchés et la compétitivité et en renforçant les infrastructures.

Le PDAIG porte sur 5 chaĂźnes de valeur, mis en Ɠuvre dans 10 prĂ©fectures. Il s’agit du riz, du maĂŻs, de la volaille, de la pomme de terre et de la pisciculture. Quant aux prĂ©fectures cibles, elles offrent un potentiel de dĂ©veloppement significatif pour les filiĂšres sĂ©lectionnĂ©es. Il s’agit des prĂ©fectures de DubrĂ©ka, Coyah, BokĂ©, Dalaba, Pita, LabĂ©, Dinguiraye, Siguiri, Mandiana et Beyla.

 

L’objectif du projet est l’augmentation durable de la production et la productivitĂ© agricoles par une meilleure utilisation des ressources en eau pour l’irrigation, afin de contribuer Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire et la rĂ©silience de la population face aux consĂ©quences du changement climatique.

 

  1. Augmentation de la production agricole dans la zone du projet;
  2. Désenclavement des périmÚtres par la réhabilitation ou la construction des pistes rurales;
  3. RĂ©alisation des mesures environnementales en fonction des dispositions des sites (par exemple protection contre l’érosion);
  4. Conseils et accompagnements des bĂ©nĂ©ficiaires (de la production jusqu’à la transformation et la commercialisation des produits agricoles)

 

  1. Réhabilitation et construction des infrastructures hydroagricoles le long du fleuve Niger et ses affluents en Guinée;
  2. Réhabilitation et aménagement des pistes rurales pour le désenclavement des périmÚtres hydroagricoles;
  3. Mesures environnementales et de protection des pĂ©rimĂštres afin d’assurer durablement leur fonctionnalitĂ©;
  4. Appui-conseil aux exploitants/bĂ©nĂ©ficiaires en matiĂšre de bonnes pratiques agricoles, gestion de l’eau, entretien des amĂ©nagements hydro-agricoles, approvisionnement en intrants et commercialisation des produits agricoles.

 

L’autoritĂ© du bassin du Niger; les populations de la zone d’intervention du projet.

 

Non applicable pour le moment ( le projet est encore au stade des études)

 

Kankan, Siguiri, Kouroussa, Kerouané, Mandiana, Faranah, Dabola, Dinguiraye et Beyla.

Programme de dĂ©veloppement chaines de valeurs du riz – PDCVR

  • DurĂ©e : 5 ans (10/01/2019 – 10/12/2024)
  • Montant : 28 340 134 USD
  • Bailleur(s) : BID, BADEA, GG
  • Coordinateur : Kadiatou Ditinn BARRY
  • SiĂšge : KipĂ©, Conakry
  • Site web :

 

D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, l’objectif du projet est de contribuer Ă  rĂ©duire le taux d’importation Ă©levĂ© du riz (environ 600 000 tonnes/an), Ă  renforcer la croissance Ă©conomique en amĂ©liorant la production, la transformation, la commercialisation et la participation accrue du secteur privĂ©.

 

L’objectif de dĂ©veloppement du projet est d’accroĂźtre la productivitĂ© agricole au niveau des exploitations et de promouvoir une plus grande participation des producteurs et d’autres acteurs dans les chaĂźnes de valeur sĂ©lectionnĂ©es dans les zones du projet.

 

Le taux Ă©levĂ© d’importation du riz a diminuĂ©, la transformation et la commercialisation du riz sont amĂ©liorĂ©es, Les producteurs sont formĂ©s et assistĂ©s.

 

Le projet a 4 composantes :
Composante A : Amélioration de la production et de la productivité du riz
Composante B : Renforcement des liens avec le marché
Composante C: Favorisez un environnement politique et institutionnel porteur
Composante D : Gestion et Coordination du Projet

 

Tous les acteurs qui interviennent dans la chaine de valeur du riz

 

MANOBI, IFDEC, SEPROCA, IRAG

 

Basse-Guinée :  Dubréka, Boffa, Boké et Coyah/Wonkifong
Haute-Guinée : Dinguiraye, Kouroussa et Siguiri

Projet de renforcement du systÚme de contrÎle et de certification phytosanitaire en Guinée

  • DurĂ©e : 3 ans + 6 mois (15/10/2019 – 15/03/2023)
  • Montant : 847 959 USD
  • Bailleur(s) : FONDS POUR L’APPLICATION des NORMES et le DÉVELOPPEMENT du COMMERCE (STDF)
  • Coordinateur : Mamadouba CAMARA
  • SiĂšge : Conakry
  • Site web : www.standardsfacility.org

 

Ce projet vise Ă  renforcer les capacitĂ©s phytosanitaires en GuinĂ©e, sur la base des recommandations d’une Evaluation des CapacitĂ©s Phytosanitaires (ECP) de la CIPV et des consultations avec les parties prenantes nationales. De façon spĂ©cifique, le projet vise Ă  amĂ©liorer : le cadre lĂ©gislatif et rĂ©glementaire du contrĂŽle phytosanitaire ; la capacitĂ© technique et opĂ©rationnelle de l’Organisme Nationale pour la Protection des VĂ©gĂ©taux (ONPV) Ă  mettre en Ɠuvre un systĂšme d’inspection et de certification phytosanitaires basĂ© sur le risque ; les compĂ©tences des opĂ©rateurs des filiĂšres prioritaires Ă  mettre en Ɠuvre les bonnes pratiques. Il aura Ă©galement comme rĂ©sultat une meilleure coopĂ©ration inter-gouvernementale et public-privĂ© en matiĂšre phytosanitaire.

Tous ces efforts concourront Ă  amĂ©liorer la conformitĂ© et la compĂ©titive des produits agricoles guinĂ©ens afin de favoriser l’accĂšs aux marchĂ©s internationaux et de contribuer Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire ainsi qu’à la rĂ©duction de la pauvretĂ© dans le pays

 

Renforcer les capacitĂ©s phytosanitaires pour contribuer Ă  l’accĂšs aux marchĂ©s et Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire et nutritionnelle en RĂ©publique de GuinĂ©e

 

Le cadre rĂšglementaire du systĂšme phytosanitaire est mis Ă  jour

La mise Ă  jour du cadre lĂ©gislatif et rĂ©glementaire fait partie des recommandations de l’ECP de la GuinĂ©e. L’amĂ©lioration du systĂšme de gouvernance phytosanitaire renforcera la capacitĂ© des services de l’ONPV d’exercer leurs fonctions de protection des vĂ©gĂ©taux et de contrĂŽle phytosanitaire de maniĂšre Ă  ce que les vĂ©gĂ©taux et produits vĂ©gĂ©taux importĂ©s, exportĂ©s ou circulant Ă  l’intĂ©rieur du pays soient conformes aux normes internationales.

Des textes lĂ©gislatifs et rĂšglementaires en cohĂ©rence avec la CIPV et l’accord SPS de l’OMC vont ĂȘtre Ă©laborĂ©s et soumis Ă  la validation des autoritĂ©s compĂ©tentes. Ces activitĂ©s serviront Ă  sensibiliser les secteurs publics et privĂ©s sur les missions et responsabilitĂ©s de l’ONPV. L’amĂ©lioration de la gouvernance phytosanitaire devrait aussi augmenter des allocations de ressources humaines et financiĂšres Ă  l’ONPV de la part du gouvernement guinĂ©en.

Les processus techniques et opĂ©rationnels du systĂšme phytosanitaire et de l’ONPV sont amĂ©liorĂ©es

Le projet apportera une assistance technique pour rĂ©aliser une analyse des risques, au moins sur une des cultures prioritaires ciblĂ©e. Il mettra aussi Ă  jour la liste des organismes de quarantaine phytosanitaire en GuinĂ©e. Un plan de surveillance gĂ©nĂ©rale appliquĂ© Ă  une culture cible sera aussi Ă©laborĂ© et validĂ©. L’ONPV disposera d’un systĂšme performant de suivi et de traitement des notifications officielles d’interceptions dues Ă  des organismes nuisibles de quarantaine ou autres non-conformitĂ©s phytosanitaires ou sanitaires. Un systĂšme de management de la qualitĂ© au sein de l’ONPV sera mis en place.

Les manuels des procĂ©dures et fiches techniques pour le contrĂŽle et l’inspection phytosanitaires en GuinĂ©e seront Ă©laborĂ©s. L’assistance technique pour l’analyse des risques devra renforcer le dispositif national de contrĂŽle et de certification phytosanitaires et rĂ©duire les faiblesses de l’ONPV Ă  ce titre. Ces activitĂ©s serviront aussi Ă  mettre en application le plan d’action de la CEDEAO pour la prĂ©vention, la surveillance et la lutte contre les ravageurs et les maladies des plantes dans l’optique de dĂ©velopper les exportations rĂ©gionales.

Les capacitĂ©s des acteurs publics et privĂ©s Ă  mettre en Ɠuvre les contrĂŽles phytosanitaires sont plus efficaces

Le dĂ©veloppement et la mise en Ɠuvre d’un programme soutenu de renforcement des capacitĂ©s des diffĂ©rents acteurs occupe une place prĂ©pondĂ©rante dans le projet. Les activitĂ©s tiendront compte dans sa globalitĂ©Ì du renforcement de la surveillance au niveau des postes d’entrĂ©e (frontiĂšres terrestres, ports et aĂ©roport). Le projet prĂ©voit notamment la formation des inspecteurs sur les contrĂŽles phytosanitaires tant Ă  l’importation qu’à l’exportation y compris les processus d’échantillonnage.

Le projet reconnait Ă©galement que les compĂ©tences SPS au niveau vertical par exemple des opĂ©rateurs privĂ©s et des structures spĂ©cialisĂ©es dans l’encadrement et le conseil agricole dans la chaine de valeur auront un impact sur la conformitĂ© et la compĂ©titivitĂ© des produits agricoles. À ce titre, environ 1,400 producteurs seront formĂ©s sur les bonnes pratiques agricoles, phytosanitaires, d’hygiĂšne et de traçabilitĂ© pour un meilleur contrĂŽle dans les chaines de production.

Les dynamiques de communication et de partenariats entre les parties prenantes sont renforcées

Le partenariat, la collaboration et la coopĂ©ration entre les diffĂ©rentes parties prenantes (ONPV, autres services publics et parapublics, organisations professionnelles, opĂ©rateurs privĂ©s et associations de consommateurs) sont essentiels dans un systĂšme SPS. L’ECP de la CIPV et le DEP du STDF ont mis en Ă©vidence le besoin d’amĂ©liorer la collaboration et le systĂšme de communication d’information et le partenariat entre l’ONPV et les autres acteurs publics et privĂ©s du systĂšme SPS en GuinĂ©e.

C’est ainsi que le projet a prĂ©vu des activitĂ©s visant Ă  renforcer les dynamiques de communication et de partenariats entre les diffĂ©rentes parties prenantes du systĂšme national de contrĂŽle par la mise en place de plateformes de concertation. L’organisation de rencontres semestrielles ou annuelles d’information des diffĂ©rentes catĂ©gories de parties prenantes y compris les services d’inspection, les douanes, les associations des consommateurs, les agences de recherche etc. facilitera les Ă©changes public-privĂ© et interministĂ©rielles en GuinĂ©e.

 

La mise à jour du cadre rÚglementaire du systÚme phytosanitaire de la Guinée

L’amĂ©lioration des processus techniques et opĂ©rationnels du systĂšme phytosanitaire et de l’ONPV

Le renforcement des capacitĂ©s des acteurs publics et privĂ©s Ă  mettre en Ɠuvre les contrĂŽles phytosanitaires.
Le renforcement des dynamiques de communication et de partenariats entre les parties prenantes.

 

Guinée

 

COLEACP – ComitĂ© de Liaison Europe Afrique CaraĂŻbes Pacifique

 

Territoire national

Programme De DĂ©veloppement Chaines De Valeurs Du Riz – PDCVR

  • DurĂ©e : 5 ans (10/01/2019 – 10/12/2024)
  • Montant : 28 340 134 USD
  • Bailleur(s) : BID, BADEA, GG
  • Coordinateur : Kadiatou Ditinn BARRY
  • SiĂšge : KipĂ©, Conakry
  • Site web :

 

D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, l’objectif du projet est de contribuer Ă  rĂ©duire le taux d’importation Ă©levĂ© du riz (environ 600 000 tonnes/an), Ă  renforcer la croissance Ă©conomique en amĂ©liorant la production, la transformation, la commercialisation et la participation accrue du secteur privĂ©.

 

L’objectif de dĂ©veloppement du projet est d’accroĂźtre la productivitĂ© agricole au niveau des exploitations et de promouvoir une plus grande participation des producteurs et d’autres acteurs dans les chaĂźnes de valeur sĂ©lectionnĂ©es dans les zones du projet.

 

Le taux Ă©levĂ© d’importation du riz a diminuĂ©, la transformation et la commercialisation du riz sont amĂ©liorĂ©es, Les producteurs sont formĂ©s et assistĂ©s.

 

Le projet a 4 composantes :
Composante A : Amélioration de la production et de la productivité du riz
Composante B : Renforcement des liens avec le marché
Composante C: Favorisez un environnement politique et institutionnel porteur
Composante D : Gestion et Coordination du Projet

 

Tous les acteurs qui interviennent dans la chaine de valeur du riz

 

MANOBI, IFDEC, SEPROCA, IRAG

 

Zone(s) d’intervention

Basse-Guinée :  Dubréka, Boffa, Boké et Coyah/Wonkifong
Haute-Guinée : Dinguiraye, Kouroussa et Siguiri